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La galerie Conil organise une exposition pour montrer le nouveau travail de Catherine Renaud-Baret axé sur le temps et intitulé le « Passé composé ». Un savant mélange du temps dans une série d’une quarantaine d’oeuvres, à découvrir du 5 mai au 15 juin.
Qu’est ce que le temps qui passe ?
Il y a beaucoup d’universalité et de particulier.
Chaque seconde, entraîne avec elle un peu d’hier, de présent et une goutte d’avenir.
Balayée par des cultures différentes, abreuvée d’images, de souvenirs, de sensations, l’envie est immense de traverser ce temps qui passe avec un regard riche de toutes ces multitudes de couleurs, d’impressions et de les poser sur une palette où tout est possible.
Catherine Renaud Baret dévoile sa nouvelle exposition chez Conil à Tanger
C’est le merveilleux de notre époque !
Tout ce savoir qui nous permet de nous évader vers tous les ailleurs !
Aujourd’hui avec une saveur d’hier!
Et la tentation d’un futur qui nous interpelle!
L’artiste est un buveur d’images. Il reconstruit dans son inconscient toutes les sensations qui lui procurent une sorte d’apaisement de l’esprit.
L’artiste est un goulu de sensations, un alcoolique de couleurs, de traits, de regards, un Arpagon d’images qu’il aimerait posséder et un insatisfait permanent !
Et il continue inlassablement dans la solitude de son atelier à accumuler son trésor!
A voir à Tanger à la Galerie Conil dès le 5 mai 2018.
GALERIE CONIL
7, rue du Palmier
Petit Socco – Tanger
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Alliage Quintett se produira le samedi 5 mai 2018 à l’hôtel Villa de France de Tanger. Grand concert de musique classique original à ne pas manquer organisé par Le Goethe – Institut Marokko dans le cadre de la 2e édition du Klassik Open Air.
Avec le concours de jeunes et talentueux musiciens allemands, cette formation de quatre saxophonistes et une pianiste constitue un « alliage » des plus charmants et des plus efficaces.
Deux fois récompensé à l’ « Echo-Klassik » pour cette combinaison instrumentale originale, ce groupe offre les qualités mélodiques et expressives du saxophone associées à la richesse du piano qui nous fait vivre une belle expérience.
Fondé par Daniel Gauthier, professeur au Conservatoire Supérieur de Musique de Cologne, l’ensemble est complété par Miguel Valles Mateu, Simon Hanrath, Sebastian Pottmeier et la pianiste Jang Eun Bae.
Le quintett se produit dans les salles et festivals les plus prestigieux du monde, entre autres le Lucerne Festival, le Gewandhaus de Leipzig et la National Gallery à Washington.
Un des temps forts de la saison 2017/18 demeure certainement la tournée australienne avec la clarinettiste Sabine Meyer.
Concert organisé en partenariat avec Villa de France.
Alliage Quintett:
Jang Eun Bae, piano
Daniel Gauthier, saxophone soprano
Miguel Vallés Mateu, saxophone alto
Simon Hanrath, saxophone ténor
Sebastian Pottmeier, saxophone baryton
Entrée libre sur invitation à retirer à l’hôtel Villa de France.
Un grand merci à Benaissa Msiid
qui participe ardemment
à la venue et à l’organisation
de ces concerts à Tanger.
Discographie d’Alliage Quinttet
2008 : Premier enregistrement exclusif sur le label SONY Classical consacré à Bach et Vivaldi.
2011 : « Voyage Russe » autour de Tchaikovsky et Rimsky Korsakov.
2013 : « Dancing Paris » avec entre autres des œuvres de George Gershwin, George Enescu et Darius Milhaud
2016 : « Fantasia » avec la clarinettiste Sabine Meyer
Dernièrement : « Lost in Temptation », présentant des œuvres de Kurt Weill, Camille Saint-Saens, Ottorino Respighi, Gustav Holst, Henry Purcell, Johannes Brahms et Aram Khachaturian.
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L’association 100% Mamans créée par Claire Trichot et présidée aujourd’hui par le docteur Khalid Ghnimi organise une nouvelle manifestation créative intitulée « Maman, les p’tits bateaux » concoctée par l’artiste plasticienne Christine Keyeux Schnöller et les mamans de l’association du 5 au 14 mai dans le jardin de la Galerie d’Art Contemporain Mohamed Drissi de Tanger.
Maman, les p’tits bateaux… vers cette rive inconnue, loin, si loin.
Embarqués toi et moi, nous osons à peine rêver les lendemains les plus simples : les matins clairs et joyeux d’un enfant ouvrant les yeux sur sa mère endormie, les soirs paisibles d’une mère qui veille au sommeil profond de la chair de sa chair.
A bord de ce bateau, je suis un passager clandestin, une mauvaise surprise découverte avec stupeur. Tu as réagi comme le font tous les capitaines : en colère contre ce mauvais coup de la vie, effrayée par le fardeau inattendu. M’expédier par – dessus bord ? Tu y as pensé, bien-sûr. Mais tu ne l’as pas fait. La traversée sera difficile, plus difficile que si tu étais restée seule, et sa destination n’est pas celle que tu as imaginée. A nous d’en faire une belle traversée !
Dénichons les courants porteurs, évitons les écueils et ne nous laissons pas effrayer par le souffle des bourrasques ! L’amour qui unit notre équipage leur résistera. Le rivage existe et nous l’atteindrons. Nous, et les autres bateaux semblables aux nôtres. Nos routes se rejoignent et s’entremêlent. Par leur nombre, nos embarcations de fortune forment une fière et vaillante flotille.
Tous dans le même bateau, affrontons l’avenir avec confiance. Le jour viendra bientôt où résonnera de la vigie le cri de la délivrance : « Terre ! ». Sur le pont, les oreilles brassées par le vent, certains croiront entendre un autre mot, celui qui, depuis le premier jour berce leur espoir le plus ardent : « Mère ! »
Une installation artistique de 5 m de long…
L’installation se présente comme une coque de 5 m de long, composée d’une multitude de petits bateaux de papier attachés ensemble. Chaque petit bateau sera personnalisé par le nom de la maman et de son enfant. « Tous dans le même bateau ! » prêts à y monter ou à y descendre à tout moment.
Elle sera placée dans le jardin de la Galerie d’Art Contemporain Mohamed Drissi, accompagnée d’un bassin où flotteront d’autres bateaux réalisés par les visiteurs. L’installation restera en place jusqu’au 14 mai 2018. Ouverture : du lundi au samedi de 9H30-16H30
Inauguration avec les mamans et leurs enfants
Les mamans bénéficiaires et leurs enfants participeront à cette inauguration, samedi 5 mai, à partir de 16H. Le grand public, et en particulier les enfants sont invités à se joindre à la fête. Chacun pourra réaliser son propre bateau et le faire voguer aux côtés de la flottille de l’association, se joignant ainsi symboliquement au projet de vie de 100% Mamans.
Les bijoux de l’association seront également en vente sur place.
Stéphanie Gaou lira le samedi 21 avril à 18 h au Palais des Institutions Italiennes « Staccato 7 enfances » un texte écrit en décembre 2017 à Tanger. Il a été construit comme une survivance de l’enfance à travers des personnes qui ont déserté la vie, de manière consciente ou aléatoire (décès, séparation, exil)…
C’est un travail autour de la résurrection possible des absents par l’écriture, et le désir de rendre palpables des émotions et des rêves enfouis. C’est un texte sur la possibilité d’engendrer l’enfant quand on est soi-même encore submergé par l’inconnu de l’enfance. C’est un travail court et saccadé (comme une pièce de piano ou de violon) qui s’articule autour de la mémoire.
J’ai écrit Staccato, 7 enfances, à la demande d’un photographe pour qui j’ai la plus grande admiration et tendresse, Michel Beine, qui souhaitait me proposer une collaboration photographie / écriture. Ce fut une digression sur la famille, sur ce que représentent celles et ceux que l’on prétend « les siens ». J’ai pensé Staccato comme une pièce d’écriture arythmique et impertinente où tout ce qui se rapporte aux autres qui furent proches de moi me donne à réfléchir à ce qui constitue mon intime. Au final, j’ai confié un autre texte à Michel Beine et décidé de publier Staccato séparément. Déclare Stéphanie Gaou
Ce travail représente une suite à Capiteuses, publié en 2012, dans lequel elle entamait son travail d’écriture sur son éveil au désir et la possibilité d’écrire une vie à travers l’évocation d’autres intimités.
Je voulais un texte sans concessions et sans violence, ni contentieux. Je voulais un texte qui laisse transparaître l’amour que je porte à mes « absents » mais qui dégage aussi les failles qui m’ont aidée à grandir auprès des présents, parce que l’inconstant est aussi une valeur sûre dans la constitution d’un individu et de ses ressentis. J’avais besoin de concrétiser mon amour de la marge, mon attirance pour celles et ceux qui sont mis de côté ou qui se mettent délibérément de côté, attitude qui devient symptomatique dès l’école, dès que l’un se confronte au « plusieurs » et qui peut devenir handicapant parfois et salvateur à d’autres moments de vie. Précise Stéphanie
Lecture de « Staccato 7 enfances » le samedi 21 avril à 18 h au Palais des Institutions Italiennes de Tanger par Stéphanie Gaou.
STACCATO, 7 enfances
Publié chez Al Manar
Prix spécial Maroc : 120 dirhams
Prix France : 15 euros
Illustration de couverture : Mohamed Lekleti
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A l’initiative d’Olivier Conil, Geneviève Gleize expose conjointement dans deux galeries: chez Las Chicas et à la Conil Volubilis, deux beaux lieux de la Kasbah de Tanger à l’occasion du Printemps du Livre et des Arts de Tanger et du premier Parcours des Arts de Tanger.
Geneviève Gleize est du 18 au 20 avril à la Galerie Las Chicas pour des oeuvres présentées sous le thème « Lever de rideau ». Elle montre une photo prise dans le cinéma Mauritania « Lever de rideau » et 6 photos d’un travail commencé dans l’ancien magasin Bata de Tanger, dans l’ancien Koutoubia Palace et 6 photos de la série sur le Théâtre Cervantes.
Vernissage le mercredi 18 avril de 17h à 20h au 52 rue Kacem Guenoun, Porte de la Kasbah, en présence de l’artiste
Geneviève Gleize est également à la Galerie Conil Volubilis à partir du 22 avril pour une exposition intitulée « Dernier acte » et concernant le théâtre Cervantes.
Au cœur de Tanger se trouve un théâtre abandonné, édifié en 1911 par un riche commerçant espagnol. Cet édifice est intimement lié à la présence espagnole en terre marocaine, il a vu et entendu le ténor Enrico Caruso, la diva Adeline Patti, des troupes de flamenco, des compagnies arabes et marocaines, comme la troupe Al Hilal, interprète, en 1929, d’un inoubliable Othello… Il est abandonné depuis plus de quarante ans.
« S’il est vrai que, pour moi, explorer les univers évanouis c’est tenter de repousser le curseur du temps en amont de l’instant capturé, s’il est vrai que j’essaie, comme le réalisateur de Quai des brumes, de peindre les choses cachées derrière les choses, les vies disparues derrière leurs traces, leur poussière, leurs ombres, s’il est vrai que l’absence est mon sujet et que photographier c’est capter le fugitif et restituer l’impression qu’il laisse au cœur sensible du spectateur, simple passant ou amateur exigeant, s’il est vrai que les êtres, les lieux, les objets dans leurs plus simples détails accourent vers l’objectif qui les capte et les immobilise au point de les inanimer…, et si cette immobilité même est fidèle à la parcelle de seconde où ils ont été saisis, telle la flèche qui vole mais ne vole pas, son parcours foudroyant étantfait d’autant d’instants immobiles,… alors, la réalité la plus commune devient éclat du passé, murmure des voix du silence, et le Gran Teatro Cervantès de Tanger répond en tous points à la quête de cette émotion : ces fauteuils qui nous tendent leurs bras, ces irisations indéfinies, ce promenoir vide où l’on imagine un peuple fellinien, ces lambeaux de toiles peintes, cet escalier dérobé montant vers quel ciel ?, ce balcon de masques dignes d’un Macbeth infernal, ce couple découpé sur fond de néant, qui semble les Parques filant nos destins, tordues dans le tourment de leur propre obligation, ne sont-ils pas l’expression de la tragédie du fugitif et de l’insaisissable ?
À mes yeux, ce flou, ce trouble permettent d’accéder à une réalité augmentée. » précise Geneviève Gleize
Vernissage dimanche 22 avril à partir de 16h à la Galerie Conil Volubilis en présence de l’artiste.
Galerie Conil – Volubilis Place de la Kasbah
Tanger
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Trois questions à Jérôme Migayrou, Directeur de l’Institut Français de Tanger, avant le départ du « Printemps du livre & des arts de Tanger » pour connaitre l’ambition de cette 22e édition qui se déroulera principalement du 19 au 22 avril au Palais des Institutions Italiennes et dont le thème est « LA RENCONTRE de l’Autre à Soi ».
22e édition du Printemps du Livre et des Arts de Tanger sur le thème « La rencontre – De l’Autre à soi »
Le Printemps du Livre et des Arts de Tanger (anciennement Salon International de Tanger des Livres et des Arts), organisé par l’Institut français du Maroc – site de Tanger – en partenariat avec l’ATRAC (Association Tanger Région Action Culturelle), investira du 19 au 22 avril 2018 le décor somptueux du Palais des Institutions italiennes. Ecrivains, sociologues, historiens, philosophes et artistes, venus de France et du Maroc, seront invités à partager leur regard sur le thème de la rencontre.
La rencontre, thème de cette 22e édition
L’économie mondialisée favorise-t-elle la rencontre réelle des économies ? Comment penser et écrire la rencontre amoureuse ? Comment interroger la première rencontre de l’enfant avec le monde ? Dans quelle mesure l’identité – individuelle ou collective – se construit-elle dans la rencontre avec l’Autre ? Dans quel cadre de pensée, de pratiques et de verbalisation la sexualité, en tant que rencontre intime, s’inscrit-elle ? La/les langue(s) constitue(nt)-elle(s) des territoires de rencontres ?
Durant quatre jours de festival artistique et littéraire, d’une table ronde à une lecture musicale, un spectacle ou un atelier, les regards et les propositions artistiques se croiseront pour penser avec le public, jeune ou adulte, cette question de la rencontre, en tant qu’expérience de l’Autre et découverte de soi.
De grands rendez-vous seront également programmés en soirée avec plusieurs conférences dialoguées qui réuniront les écrivains Fouad Laroui, Sylvie Germain et Gilles Leroy, ainsi que le duo de créateurs de bandes dessinées Catel & Bocquet.
Une riche programmation pour tous les publics
Les visiteurs pourront, comme chaque année, rencontrer les libraires, éditeurs et associations culturelles exposants. Concerts, spectacles, contes, scène slam, ateliers d’écriture, de poésie, de portraits ou d’acrobatie, de nombreuses activités attendront les enfants, adolescents et jeunes adultes avec près de 35 rendez-vous dédiés dans l’espace jeunesse.
Le Printemps du Livre sera également l’aboutissement de plusieurs actions menées en amont auprès des collèges et lycées comme l’étape finale du concours Plaisir de lire, organisée en partenariat avec les établissements de l’Académie Régionale de l’Enseignement et de la Formation.
Enfin, les arts vivants et visuels traverseront cette année encore l’ensemble de la programmation. Un parcours des arts, organisé autour de l’exposition La pelouse est mon dernier refuge, d’Hicham Gardaf à la Galerie Delacroix, permettra au public de découvrir douze lieux tangérois dédiés à la création contemporaine, douze regards sur le thème de la rencontre. En soirée, le spectacle La chambre des époux, écrit et interprété par Eric Reinhardt, Prix Renaudot des lycéens 2014, et la comédienne Mélodie Richard, un récital de poésie d’Abdellatif Laâbi et une rencontre musicale avec Marek Halter attendront également les festivaliers.
Le 7e art sera à l’honneur avec une nouvelle Nuit du Cinéma, en partenariat avec la Cinémathèque de Tanger. Une carte blanche sera donnée à cette occasion au journaliste et écrivain Gérard Lefort.
Les chanteurs Muslim et Hamid El Hadri et le groupe Gnawa Diffusion feront enfin résonner le Palais des Institutions Italiennes de la rencontre des musiques andalouse, rap, chaâbi, rai, gnawa ou encore reggae lors de deux soirées musicales mémorables.
Des écrivains et artistes de renom
Parmi les invités du Printemps du Livre : Laure Adler, Ali Benmakhlouf, Mahi Binebine, Catel Muller & José-Louis Bocquet, Frédéric Boyer, Sanaa El Aji, Sylvie Germain, Marek Halter, Mohamed Hmoudane, Hicham Houdaïfa, Kaoutar Harchi, Abdelfattah Kilito, Driss Ksikes, Abdellatif Laâbi, Fouad Laroui, Gilles Leroy, Eric Reinhardt, Abdelhak Serhane, Abdellah Tourabi…
Evénement organisé par l’Institut français du Maroc – site de Tanger – en partenariat avec l’Association Tanger Région Action Culturelle), dans le cadre de la Saison culturelle France – Maroc 2018.
A l’occasion de la 22e édition du « Printemps du Livre et des Arts de Tanger » et du premier « Parcours des Arts de Tanger », la galerie Photo Loft expose « De l’un à l’autre », rencontre photographique entre Rachid Ouettassi et Pascal Sautelet du 20 avril au 2 juin 2018.
DE L’UN À L’AUTRE – Photographies argentiques « De l’un à l’autre » nous présente deux regards photographiques croisés sur Tanger.
Rachid, habitué à arpenter toutes les rues, les faubourgs et les impasses de sa ville qu’il connaît parfaitement, attrape les moments qui le sensibilisent et les fige. Cela fait plus de 20 ans qu’il nous dévoile sa ville. Rachid, l’artiste situationniste… L’époux de Tanger, l’incontournable… Pascal, lui, arpente au hasard les rues des quartiers connus ou moins connus, se perd, se repère,
s’évade librement, découvre les moments qui le séduisent et lui parlent. Cela fait peu de temps qu’il se balade dans cette ville… Mais elle a déjà happé de toute sa magie… Comme tant d’autres…
Pascal, l’artiste voyageur… L’amant de Tanger…
Mathias Le ForestierPhoto Loft
Vernissage le vendredi 20 avril à partir de 18h00 dans le cadre du Parcours des Arts de Tanger Nocturnes les jeudis 03 et 17 mai 2018 de 19h00 à 22h00 « De l’un à l’autre » – Photographies argentiques
A propos de Rachid Ouettassi / Tanger
Ce photographe autodidacte à l’argentique, s’est spécialisé à photographier les hommes et les femmes illustres ou pas ainsi que la ville de Tanger à l’affût de l’insolite. Il révèle une connaissance profonde de sa ville natale à travers ses luminosités, son cadrage, ses situations de vie, zones d’ombres et de joies, ses panoramas et ses humeurs, car Tanger a ses humeurs. Il nous guide de sa
jouissance artistique tout autan que de son authenticité de réel photographe.
photo : Rachid Ouettassi
A propos de Pascal Sautelet / Paris
Au début des années 70 il entre à l’école des Beaux Arts de Paris à l’apprentissage du regard. Plus tard il devient caméraman et travaille jusqu’il y a peu de temps pour la télévision et le cinéma comme directeur de la photographie.
Parallèlement il rencontre le monde du théâtre et réalisera une centaine d’éclairages dans les
théâtres Parisiens.
Aujourd’hui il se consacre exclusivement à la photographie pour accomplir un travail personnel.
photo : Pascal Sautelet
Galerie PHOTO Loft
115, Bd Mohamed Ben Abdellah
Tanger
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En 2018, le Salon International de Tanger des Livres et des Arts devient le Printemps du Livre et des Arts de Tanger. Il se déroulera du 19 au 22 avril principalement au Palais des Institutions Italiennes. Thème de cette 22e édition : « LA RENCONTRE, de l’autre à soi », un vaste programme…
Depuis sa création en 1996, cet événement littéraire – qui tient moins de la foire du livre que du forum de rencontres – n’a eu de cesse de favoriser le débat et les échanges entre écrivains et penseurs des deux rives de la Méditerranée.
Depuis 2002, sa programmation s’articule autour d’un thème décliné en tables rondes, conférences, débats.
Ouvert à toutes les formes d’expression, il propose également un programme artistique : théâtre, arts plastiques, cinéma… En 2009, il devient à ce titre Salon International de Tanger des Livres et des Arts, puis en 2018 Printemps du Livre et des Arts de Tanger.
Depuis 2011, cet événement est inscrit dans la saison culturelle France-Maroc de l’Institut français du Maroc dont il est l’un des temps forts. Il est organisé en collaboration avec l’Association Tanger Région Action Culturelle et d’autres partenaires culturels et institutionnels locaux.
Le Printemps du Livre et des Arts de Tanger (anciennement Salon International de Tanger des Livres et des Arts) revient du 19 au 22 avril 2018 pour une nouvelle édition dédiée à « la rencontre ».
Sur scène, en débat ou en lecture, accompagnée de musique, en dialogue avec la psychanalyse, le cinéma, la sociologie ou la bande-dessinée, la littérature sera à la fête au Palais des Institutions Italiennes mais aussi dans plusieurs galeries d’art contemporain, à la Cinémathèque, dans les écoles, les collèges, les lycées et à la Légation américaine de Tanger !
Rencontre avec le monde, rencontre avec le corps, rencontre amoureuse, rencontre des économies… Durant quatre jours de festival artistique et littéraire, d’une table ronde à une lecture musicale, un spectacle ou un atelier, les regards et les propositions artistiques se croiseront pour penser avec le public, jeune ou adulte, cette question de la rencontre, en tant qu’expérience de l’Autre et découverte de soi.
En partenariat avec l’Association Tanger Région Action Culturelle
#PARMI LES INVITÉS
Laure Adler, Ali Benmakhlouf, Jalil Bennani, Mahi Binebine, Catel Muller & José-Louis Bocquet, Frédéric Boyer, Sanaa El Aji, Shereen El Feki, Sylvie Germain, Marek Halter, Kaoutar Harchi, Mohamed Hmoudane, Hicham Houdaïfa, Abdelfattah Kilito, Driss Ksikes, Abdellatif Laâbi, Fouad Laroui, Gilles Leroy, Eric Reinhardt, Kenza Sefrioui, Leila Shahid, Abdellah Tourabi…
#LES SOIRÉES DU FESTIVAL
MUSLIM & HAMID EL HADRI – concert, vendredi 20 avril à 21h30
GNAWA DIFFUSION – concert, samedi 21 avril à 21h30
LA NUIT DU CINÉMA, dimanche 22 avril à 19h00
#L’ESPACE JEUNESSE
Des ateliers d’écriture et des lectures de contes seront ouverts à tous pendant le festival. Un espace en libre accès accueillera par ailleurs des ateliers de portraits et d’acrobatie, encadrés par le Théâtre Darna et beaucoup d’autres activités ! Le groupe Zèbre à trois donnera également rendez-vous aux plus jeunes pour de joyeux concerts dans l’espace jeunesse.
Des ateliers d’écriture, de story-board et de peinture seront mis en place en parallèle dans des écoles et le concours de lecture Plaisir de Lire sera de retour pour une nouvelle édition. Collégiens et lycéens pourront à cette occasion échanger directement et de manière privilégiée avec les écrivains Abdellatif Laâbi et Julia Billet.
La Galerie Artingis organise une exposition de Carol Jarry, artiste peintre vivant et travaillant à Tanger, sur le thème « Le monde de Carol Jarry » du 12 avril au 12 mai 2018.
Carol Jarry a ses pinceaux pour voir. Le ciel s’est arrêté, quelque chose d’immuable. L’impression pourtant qu’ils passent tous ces gens, dans des instants de tendresse intenable, ce qui ne les empêche pas de se croiser. Les femmes sont des dames à la nonchalante gravité. On dirait que les messieurs ont croisé les rois mages, ils se sont assis en tailleur et, ensemble, ils ont joué aux osselets sous la lune. C’était avant. Le temps est comme le sable qui, grain après grain, nous défait. Ou, sans avoir à courir, si le temps prend le rythme des gens c’est pour mieux les enterrer vivants.
C’est pourquoi Carol Jarry peint le vent, l’effort du vent qui voudrait passer à autre chose, sans
y parvenir. Le vent contenu, arrêté, le vent essoufflé par lui-même et qui un instant prend la pose, avant de se recommencer. Les visages sont plutôt ronds, les nuques parfois raides. Les coiffures évoquent des temps et des lieux qu’on ne saurait situer. On est ailleurs, très près d’un rêve. Il y a quelque chose d’un peu salé dans ces peintures. La mer n’est jamais loin, on en entend la lointaine rumeur. La mer est par-dessus les toits.
Ici, la lenteur n’est pas qu’une pose. L’immobilité apparente se vêt de solennité. Avant le bruit et la poussière, avant que la ville ne se transforme en vaste chantier, ville d’inanité où tout ce qui se fait est immédiatement défait…
La vie d’ici est un curieux trompe l’oeil, ou un trompe-la-mort, qui sait ? Quand l’acte de peindre, lui-même, semble avoir conscience qu’il risque de se faire happer, là.
Il y a des motifs dans le fond de certains tableaux. Parfois des tapisseries, ce sont des gammes d’oiseaux aux chants captifs, ce sont des bateaux. D’autres motifs agrémentent les tenues des personnages représentés. Les toilettes fleurissent. L’illusion de la vie qui tend son bec et frappe aux carreaux, illusion d’une fausse insouciance. Les tableaux de Carol Jarry sont indéniablement colorés, une forme d’insouciance noire baigne pourtant son oeuvre. Nous sommes dans le dormant d’un temps en suspens.
Tendre est la couleur, pourrait-on croire, ce qui n’atténue en rien l’âpreté de vivre, au contraire. À y mieux regarder, les couleurs se contredisent et le fond est parfois le sujet. Nous sommes dans une sorte de contre-jour, d’éblouissement sans soleil. Ces personnages qui portent des lunettes noires, sont-ils aveugles ou aveuglés plutôt, et par qui ou par quoi le sont-ils? L’instant et l’éternité se jouent de nous. Comme le jour est obscur ! Jean-Pierre CANNET, écrivain
Exposition à voir chez Artingis 11 rue Khalid Oualid Tanger
A propos de Carol Jarry
Carol Jarry, artiste peintre, née à Nantes en 1958. Étudie à l’école des Beaux-Arts de Lyon.
Travaille à ses débuts essentiellement la sculpture et le modelage, puis, de voyage en voyage, adapte son travail à différents supports et différentes méthodes tels que les collages, les papiers découpés, la peinture en technique mixte sur papier et sur kraft.
Après Lyon, Bamako, Paris, Casablanca, Malaga et un bref retour à Paris, vit et travaille actuellement à Tanger.
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« Les chaises de Tanger » est le nouvel ouvrage réalisé à quatre mains par Lotfi Akalay et Christine Keyeux-Schnöller. Il sera présenté le 14 avril à la Librairie des Colonnes en présence des deux artistes.
C’est une nouvelle collaboration entre Lotfi Akalay et Christine Keyeux-Schnöller, amis de toujours, qui se concrétise dans la réalisation de ce nouvel ouvrage original réalisé à quatre mains. Christine a pris les photos des fameuses chaises de Tanger sur les indications de son ami Lofti qui a eu l’idée de ce projet et a écrit les textes plein d »humour et de facétie sur la vie de ces chaises de Tanger qui en ont supporté de toutes les couleurs…
« C’est moi la chaise. Qui aurait pensé que la chose, l’objet , le truc, le bidule, le machin que je suis serait un jour le personnage principal d’un livre ? Levez-vous et regardez bien, je veux dire ôtez de moi votre auguste et tendre postérieur, fixez de vos yeux ce dossier, ces accoudoirs sont miens et me servent de visage et de bras. Dites-moi : savez-vous que nous nous ressemblons même morphologiquement tous deux, je veux dire vous et moi, nous sommes une individualité différente de la masse, je veux dire vous, de la foule, moi d’une terrasse de café ; vous d’un square, et moi d’une salle de conférence. On ne doit pas vous confondre avec un animal et moi non plus ! La preuve ? L’animal a des pattes, moi j’ai des pieds, exactement comme vous. Et si je vous enquiquine, vous ne diriez pas que je vous casse les pattes, n’est-ce pas ?Ficelées, habillées, dénudées, chaises de pauvres, chaises de riches, les chaises de Tanger font de la rue un récit de bric et de broc. » Lotfi Akalay
Présentation et signature de ce nouvel ouvrage le 14 avril à 18h en présence des auteurs.
Librairie des Colonnes
Avenue Pasteur
Tanger
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