jeudi 23 octobre 2014

La Fondation Lorin présente la pièce “Cahin Caha” à Institut Severo Ochoa de Tanger le vendredi 31 octobre à 20h. Une oeuvre au palmarès impressionnant signée Serge Valletti, l’un des auteurs majeurs de la scène française contemporaine. Un événement théâtral à ne pas manquer.


La pièce :

Cahin, grande perche échassière en mal d’amour, veut cruellement trépasser et Caha, brave benêt bienveillant, ne saurait le tuer sans une bonne raison bien raisonnable…


Alors Cahin lui cherche un mobile, décortique, raconte des histoires à mourir debout de transsibériens et de citernes à remplir. Caha, lui, « recortique », décompose et argumente pour échapper à la tôle… Forcément entre eux ça coince, ça grince puis ça s’huile et ça glisse, ça tombe et ça avance, Cahin Caha, dans un joyeux chaos…


A partir d’un espace vide, L’Entonnoir Théâtre nous embarque dans cet univers jubilatoire et déjanté en s’appuyant sur un décor sonore et un habillage lumière d’une précision à couper… à la hache.


Cahin Caha, de Serge Valletti par L’Entonnoir Théâtre

Mise en scène par Patrick Le Bihan

Avec:

Cahin : Olivier Cariou

Caha : Patrick Le Bihan

Durée: 1h


Olivier Cariou – CAHIN

Membre fondateur de la Ligue d’Improvisation de Brest Île D’Ouessant (libido), qui organise les matches d’improvisation théâtrale salle des conférences de la mairie de Brest. Cette troupe présente une trentaine de spectacles par saison. Elle intervient aussi dans toute la France (Nîmes, Marseille, Nancy, Paris, etc..) et ailleurs (Bruxelles, Mons, etc..) il a appartenu à la Troupe Troupe, basée à Saint Renan, et joué dans des comédies du Splendid, de Jean Michel Ribes, de Francis Veber mais aussi d’Agnès Jaoui et Jean Pierre Bacri.


Patrick Le Bihan – CAHA

Ancien membre de la Troupe Troupe et fondateur de la libido (Ligue d’Improvisation de Brest et de l’Ile D’Ouessant) ; il a été membre des filles de la pluie lors des représentations d’«Eclipse » de Christian Caro. Il a joué Krapp dans le monologue « La dernière Bande » de Samuel Beckett. Après avoir dirigé « Un air de famille » et mis en scène « American Buffalo », il interprète Caha dans la pièce de Serge Valletti.


L’auteur:

Serge Valletti est l’un des auteurs majeurs de la scène française contemporaine. Il manie la langue comme une espèce de chewing-gum, suivant le fil de notre pensée, en zigzag, et celui des idées farfelues qui voyagent quelquefois dans nos esprits embrumés…

Son écriture doit beaucoup au goût de la conversation dont font preuve ses personnages. Souvent son humour se double d’une nostalgie secrète, d’une quête intime qui rendent son univers très particulier.


A propos de la pièce : « Quand Jean Larriaga m’a proposé d’écrire une pièce de moins de 45 minutes que j’allais lire en public, j’ai demandé si cela pouvait être un monologue et il m’a répondu que non. Donc il fallait qu’il y ait des personnages, avec leurs noms. Comme, quand j’assiste à une lecture, je suis toujours un peu gêné par la scansion de ces noms qui reviennent pour indiquer le changement de personnage qui parle, j’ai voulu contourner le problème. J’ai écrit un monologue à deux voix. Il y a bien deux voix, mais il y a une seule personne. En fait on reconnaît le changement de voix au changement de ton. Au départ c’était donc une seule personne qui se parlait à elle-même, et puis, chemin faisant, et comme par jeu, ils ont trouvé chacun leur identité. L’un s’appelle Cahin et l’autre Caha. Ils avancent, ils n’en finissent pas d’avancer en s’interrogeant. Comme chacun de nous quand nous sommes seuls! » Serge Valletti – Août 2005 .


Le palmarès:

• Arlequin d’Or à l’unanimité, Festival des Arlequins, Cholet 2011.

• Prix du comité de sélection des Arlequins 2011.

• Prix du Public au Festival des Arlequins, Cholet 2011.

• Louis d’Argent THEATRA 2010.

• Prix du Public THEATRA 2010.

• Prix Jean Tardieu du Festival 2010 de Théâtre Contemporain de Châtillon-sur- Chalaronne (01) à l’unanimité.

• Prix du jury jeune du festival de Cahors 2010.

• Prix Spécial du jury à l’unanimité à Festhea 2009 (37).

• 1er Prix du festival régional de Lanester 2009 (sélection Bretagne à Festhea) (22).

• Premier Prix du festival Gueules d’Amateur à Blanquefort (33).


CAHIN CAHA

Vendredi 31 Octobre à 20h

à l’Instituto Severo Ochoa, Place du Koweit, Tanger

Entrée 50dhs

Billetterie sur place avant le spectacle






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dimanche 19 octobre 2014

“Paradis degré zéro” est le titre de l’exposition que présente la galerie Phot Loft de Tanger pour montrer le travail de Mathias Magnus, alias Le Forestier du 23 octobre au 29 novembre. On est heureux de découvrir les oeuvres du Galeriste…




Tanger … Pour la prochaine exposition, cette ville est présentée en photographie avec un certain regard, boulevard, quartier, périphérie proche ou moins proche.


Une approche personnelle. La ville bouillonne, la ville peut être belle mais la ville est aussi une citée parfois étrange.


Mathias Magnus la présente sous une mise en scène, en couleur et noir et blanc, la transforme, la casse, la maquille et l’habille comme une femme ou la rend sévère, étrange et gueulante.


Mathias Magnus n’est qu’autre que Mathias Le Forestier, que les habitués de la galerie Le Photo Loft connaissent bien, puisque initiateur et codirecteur du lieu avec Alexandra Guyot.


Paradis degré zéro est un regard amoureux, une bouche grande ouverte qui hurle, un geste timide, simple et bienfaiteur, un mouvement violent et immédiat.


Tanger. J’aime. J’abhorre. Tanger. Un pied derrière l’autre.



Photo Loft

115, avenue Mohamed Ben Abdellah,

8ème étage, N° 32, Tanger

photoloft-tanger.com – contact@photoloft-tanger.com


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samedi 18 octobre 2014

Le phare du Cap Spartel fêtes ses 150 ans. Ce cap est la porte d’entrée sur l’Atlantique quand on vient du détroit de Tanger et de la méditerranée… Là se dresse un phare pour marquer le passage et indiquer la route aux navigateurs qui passent par cette route maritime depuis des millénaires… Dans les temps anciens c’était le cap du cimetière des bateaux car la zone avec ses hauts fonds et ses rochers est toujours très dangereuse.


Le promontoire domine la mer à une altitude de 315 m et bénéficie d’une forte pluviosité favorable à la végétation. Dans l’Antiquité, le cap Spartel s’appelait le cap Ampelusium, ou cap des Vignes. Sous le promontoire, les vagues de l’océan Atlantique ont creusé des cavernes, où les habitants de la région venaient autrefois tailler des meules. Aujourd’hui, ces spectaculaires « grottes d’Hercule » sont une attraction touristique.


Sur le cap Spartel, à 110 m d’altitude, se trouve un phare, qui commença à fonctionner le 15 octobre 1864. Sa construction fut ordonnée par le sultan Mohammed IV ben Abderrahman, à la demande des représentants consulaires des puissances européennes alarmées par les nombreux naufrages qui se produisaient au large du cap. La lumière du phare est visible à 30 milles marins (55,6 km).


Au large du cap Spartel se trouve le banc Spartel, un haut-fond immergé, dont certains ont voulu faire l’île légendaire de l’Atlantide.


Le phare de Cap Spartel (ras Spartel, en arabe) fait partie du patrimoine de Tanger et des côtes Nord du Maroc.


Pour l’anecdote, «plusieurs avancées techniques ont marqué l’histoire de l’édifice, qui a commencé avec la mise en service d’un appareil optique d’une puissance de 20.000 bougies décimales pour arriver à un système lenticulaire d’une grande puissance, installé en 1931. Un système sonore, utile en temps de brume, a été mis en place en 1933 et, en 1937, un radiophare a été ajouté pour permettre aux navires de déterminer leur position».


Par ailleurs, l’inauguration de cette magnifique structure a coïncidé avec la signature d’une convention entre le Maroc et dix pays occidentaux ; à savoir l’Autriche, la Belgique, la France, la Grande-Bretagne, l’Italie, la Hollande, le Portugal, l’Espagne, la Suède et les Etats-Unis. Selon les termes de cette convention, ces pays s’engageaient à prendre en charge « tous les frais de la direction et de l’entretien du phare étant donné que le Royaume ne possédait pas de flotte commerciale à l’époque».


Le phare de Cap Spartel a bonne réputation auprès des Tangérois mais aussi des tour-opérateurs et guides de voyage. Ces derniers vantent la beauté et le charme d’une structure dont les environs offrent une magnifique vue sur la côte.


En effet, souligne l’un d’eux, «la zone autour de Cap Spartel est populaire pour l’observation des oiseaux, en particulier avec les migrations vers l’Europe».


Signalons qu’à l’occasion des 150 ans de cette structure, la ville abrite plusieurs activités artistiques et culturelles.


Organisées depuis le 16 octobre jusqu’au 15 novembre prochain, elles visent à mettre en exergue l’importance de cette structure.


Visite du Cap Spartel du phare >






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vendredi 17 octobre 2014

La galerie DAR D’ART présente l’exposition “Tanger de Zine” en montrant les travaux récents de l’artiste Abdellatif Zine sur Tanger du 8 au 30 novembre prochain.






Abdellatif Zine

Né en 1940 à Marrakech, Abdellatif Zine s’inscrit à l’École des beaux-arts de Casablanca puis à l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris. Il participe en 1963 à l’exposition organisée à la galerie Charpentier, «Deux mille ans d’art au Maroc» à Paris et depuis expose au Maroc et à l’étranger. En 1990, il crée le Trans’Art, rencontre entre musique, danse, chant et peinture. Vivant et travaillant actuellement à Casablanca, Zine est expert auprès des tribunaux pour les Beaux-arts, président fondateur de l’Association nationale des arts plastiques (ANAP) et président fondateur du Syndicat des artistes plasticiens marocains.


Abdellatif Zine est un artiste multi-forme et très actif sur le plan associatif.

- Président Fondateur du Syndicat Marocain des Artistes Plasticiens Professionnels

- Fondateur de l’Union des Syndicats des Artistes Marocains

- Président de l’ANAP (Association National des Arts Plastiques)

- Membre fondateur de la mutuelle des artistes

- Médaille d’or par l’Académie Française (Art – Sciences et lettres)

- Expert assermenté auprès des tribunaux pour les beaux arts


Il est aussi très combattif et contestataire sur la manière dont a été organisé la sélection des artistes participant à la grande exposition “Le Maroc contemporain”.


Nous avons reçu plusieurs appels et lettres faisant état du mécontentement des artistes quant à la manière dont se prépare l’exposition «Le Maroc aux mille couleurs», prévue du 14 octobre prochain au 25 janvier 2015 à l’Institut du monde arabe (IMA). “Nous allons multiplier les pétitions et les mettre en ligne, organiser d’autres points de presse, des sit-in, des lettres de protestation adressées à tous les acteurs concernés et un mémorandum qui sera adressé à la Haute Attention de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu l’assiste.” Déclare Zine

Vernissage en présence de l’artiste le Samedi 8 Novembre à 19h


Galerie Dar D’Art

6, rue Khalil Matrane RDC N° 5 (derrière le restaurant la pagode)

Tanger, Morocco

+212 5393-75707






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mardi 14 octobre 2014

La 12ème édition du Festival du court-métrage méditerranéen de Tanger (FCMMT), organisée sous le Haut patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, débute lundi, 13 octobre 2014, avec 56 courts métrages en compétition officielle. Représentant 19 pays méditerranéens, ces films ont été sélectionnés parmi plus de 600 court-métrages, sélectionnés par le comité d’organisation.



Les films participants à la compétition officielle sont : “Balcon” de Lendita Zeqiraj, “Silence” de Bekim Guri (Albanie), “Feu” de Nejma Zeghidi, “Precipice” de Nadia Touijer (Tunisie), “Vacances à la plage” de Cristina Grosan (Bosnie&Herzegovine), “Repose en paix” de Dina Abdelsalam, “La grotte” de Ahmed Ghoneimy (Egypte), “Eau troublée” de Toufic Khreich, “Kaleidoscope” de Dania Bdeir (Liban), “Condom lead” de Tarzan & Arab Nasser, “Bleui” de Rama Mari, “Blackness” de Mohammad Bakri (Palestine), “Torba” de Marko Sopic, “Chemin dans un champ de seigle” de Goran Stankovic (Serbie), “Le droit d’aimer” de Barbara Zemljic (Slovénie), et “Un printemps est passé par ici” de Eva Daoud (Syrie).


D’autres films participent à cette édition, qui se tient jusqu’au 18 octobre, cinq films de France, cinq de Turquie, cinq d’Espagne, quatre de Grèce, quatre d’Italie, quatre de Portugal, trois de Chypre, trois de Croatie et deux d’Algérie. Cinq films marocains ont été retenus pour participer à la compétition officielle. Il s’agit en l’occurrence de “Carte Postale”, de Mahassine El Hachadi, “Rendez-vous avec Ninette”, de Souad Hamidou, “Mémoires anachroniques” d’Asmae El Moudir, “Et moi”, d’El Houssain Chani et “Qanis”, de Réda Mustapha.


Ces court-métrage marocains ont été choisis, parmi un total de 62 films, par la commission de sélection des courts-métrages marocains candidats à la compétition officielle du FCMMT, lors de sa réunion tenue les 3 et 4 septembre 2014, au siège du Centre cinématographique marocain (CCM).


Le réalisateur marocain, Mohamed Mouftakir, présidera le jury de la 12e édition, composé également des cinéastes, Alexandra Grau de Sola (France), Darina Al Joundi (Liban) et Hamid Farjad (Iran), ainsi que du directeur de photographie, Luca Coassin (Italie), et le chef monteur, Julien Fouré (France), en plus de la productrice marocaine, Lamia Chraibi.






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dimanche 12 octobre 2014

Un très grand patron qui se rend à une convocation de routine. Une commissaire de la brigade financière qui enquête depuis des mois sur ses activités. Deux visions du monde qui s’opposent. Entre cet homme de pouvoir et cette femme de droit s’engage une lutte, entre privilèges et justice. Avec pour enjeu la liberté ou la détention d’un homme, plus enclin à diriger qu’à obéir.


Venez découvrir la pièce de Hugues Leforestier :


BRIGADE FINANCIERE


avec Christelle Lipp et Philippe Lorin


Spectacle présenté par La Comédie de Tanger


Mercredi 15, Jeudi 16, et Vendredi 17 octobre à la Fondation Lorin à 20h.


Hugues Leforestier est un personnage éclectique. Job d’étudiant au New York Herald Tribune, prof de gym, contrôleur de gestion, directeur de banque, directeur financier, comédien, auteur… Après un parcours très atypique, Hugues Leforestier est aujourd’hui directeur du Caveau de la République à Paris, cabaret réputé pour son esprit frondeur à l’égard des personnalités de la politique, ce qui lui a vraisemblablement donné le goût de la satire et la critique décalée. C’est un super actif et un passionné, entre autres, de vins, de série anglo-saxonnes, de Modigliani, de tennis, de gâteaux et de musique tzigane…


Il est prudent de réserver vos places!

La salle de la Fondation Lorin dispose de places limitées (45 places). Merci d’avoir la gentillesse de nous confirmer votre venue, en nous précisant vos noms + dates (15, 16 ou 17 oct.) + nombre de places à vous réserver, au plus tard le dimanche 12 octobre, par e-mail à christelle.lipp@gmail.com


Pour aller à la Fondation Lorin

44 rue Touahin, Médina de Tanger

- Place du 9 avril (Grand Socco), à gauche du restaurant Art & Gourmet, prendre la rue qui pénètre dans la médina.

- Juste après une petite fontaine décorée de zelliges, tourner à droite dans la rue Touahin (rue des bijoutiers).

- Au bout de quelques mètres, un panneau bleu indique « FONDATION LORIN ».

- Passer la grille métallique, monter l’escalier, la salle se situe au 1er étage.


A propos de la Fondation Lorin



Philippe Lorin, créa la Fondation Lorin dans une ruelle de la médina proche de la place du Grand Socco à l’angle du meilleur marchand de nougats….

L’idée première : consacrer ce lieu à la photographie. Visions d’ailleurs, thématiques (Sarajevo par exemple), invitations aux voyages et expressions diverses par des photographes de renom (Jean-Loup Sieff, William Klein etc…)

L’impact n’étant pas à la hauteur de ses ambitions et ne récompensant pas suffisamment les artistes qui se déplaçaient, il choisit une autre direction et transforma cette Galerie en un “Petit Musée du Tanger International”.

On y trouve un beau choix de photos qui illustre la grande époque Mythique Tangéroise des années 40 et 50.

Dans le même temps, il proposa aux enfants des quartiers défavorisés, un atelier d’Arts Plastiques qui fonctionna pendant huit ans.

Et il est fier de pouvoir dire que beaucoup d’anciens élèves ont réalisé plus tard de belles carrières aux Beaux Arts ou dans l’artisanat d’Art .

Vint ensuite l’Atelier de Musique (flûte, chants, percussions) pour la réinsertion des enfants non scolarisés.

Puis autre corde à son arc, le Théâtre avec cours et création de “La Comédie de Tanger” dans laquelle il s’implique également aussi en tant qu’acteur…

Cette compagnie tourne au Maroc et en France .






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Didier Tincuff excelle dans l’art du détournement et de la récupération pour redonner vie à une imagerie primitive et ancestrale que représente le masque africain. Il s’inspire également de la démarche “art pauvre” qui consiste à rendre signifiants des objets insignifiants…


Source d’inspiration des “modernes”, l’esthétisme des masques d’Afrique subsaharienne a toujours fasciné les artistes modernes.


Avec “Plastique Afrique” Didier Tincuff, nous propose une nouvelle interprétation et un nouveau matériau, afin de rendre un hommage stylistique et laïque, à la diversité culturelle de cette partie du continent africain.



Exposition du 11 octobre au 12 novembre 2014.


Vernissage le mercredi 15 octobre à 17h dans le cadre des Nuits Sonores Tanger 2014.


Didier Tincuff, vit et travaille à Tanger.


GALERIE CONIL

7, rue du Palmier et 35, rue des Almohades

Petit Socco – Tanger

Ouvert tous les jours – 11h à 13h30 et 16h à 19h30

+212 6 55 64 10 14/ 6 51 23 98 28

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samedi 4 octobre 2014

L’association tangéroise “100% mamans” organise un événement artistique qui s’intitule “Métamorphose” du 17 octobre au 7 novembre.






Cette expérience de métamorphose, les mamans célibataires de “100% Mamans” la partagent avec les papillons.


Opération délicate, sensible et au final féconde : donner des ailes à une jeune femme. Déjà plus de mille mamans accompagnées depuis la création de 100% Mamans en 2006. Mille métamorphoses qu’il a fallu encourager pour dépasser la honte, la peur, le doute de soi et le rejet des autres. Mille mutations dont aujourd’hui nous ne sommes pas peu fiers, mille papillons voletant.


Les papillons ont inspiré Christine Keyeux, artiste engagée de longue date aux côtés de “100% Mamans” pour une nouvelle activité artistique en papier et en tissu. Des milliers de papillons multicolores ont été créés par les bénéficiaires de l’association. Des papillons à leur image qui tracent leurs silhouettes, apparitions esquissées et exposées au musée de la Kasbah à Tanger du 17 octobre au 7 novembre.



Le geste créatif se déroule sur plusieurs mois incluant, pliage, couture, dessin puis assemblage pour donner vie aux formes de mamans. Une nuée de “mamans papillons” escortées de leurs enfants qui exposent le résultat de leur propre métamorphose, digne et esthétique au cœur du Tanger historique.



Liés d’une façon ou d’une autre à notre ville et à notre action, des artistes de tous horizons apportent leur contribution sous forme de papillons originaux, qui s’inscrivent dans l’itinéraire artistique de chacun. Un hommage aux mille métamorphoses achevées à “100 % Mamans”.


Un espoir et un encouragement pour toutes celles qui suivront.


Des artistes d’horizons variés soutiennent notre démarche et créent leur propre Papillon. Tous seront exposés au Musée de la Kasbah, lors de notre événement Métamorphose. Ici la création de Julie Simon-Titecat.



Métamorphose

Installation artistique de l’association 100% Mamans

du 17 octobre au 7 novembre 2014

au Musée de la Kasbah – Tanger


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