samedi 31 mars 2018
Olivier Conil propose l’exposition du travail de Itaf Benjelloun à la Galerie Conil-Volubilis intitulée « Les maux bleus », bas relief, sculpture, installation… du 31 mars à fin avril 2018.
Elle nous dit…
Quand Les maux bleus se font un aveu de mélancolie, un chuchotement à fleur du monde, l’affleure, l’effleure autant d’un désir que d’une pensée… Itaf Benjelloun est du détroit, elle en connaît la palette comme elle sait tout ce qu’il est, de fureur, d’apathie, de violence et de séduction : elle nous dresse donc l’effigie de cette Belle au détroit dormant qu’elle connaît si bien, elle qui sait si bien l’esquive de l’autoportrait, qu’elle esquisse effumé et s’abîmant : une disparition comme une dissipation, l’une et l’autre reconnues dans le soupçon d’un baiser qui émerge des embruns et sous une pluie de médaillons, camées portés comme un pavoisement sur la poitrine de tous ceux pour qui bat un sentiment d’évanouissement. Elle nous dit les vagues à l’âme, nos tristesses profondes, nos amenuisements, nos grisailles et nos maussaderies, tout ce qui en nous ploie sous l’effet des contre-courants et des vents contraires… À l’épreuve du détroit, en sculptant le temps, façonnée d’opale et repolie de fragilité, elle nous dit Les maux bleus…
Philippe Guiguet Bologne
Vernissage samedi 31 mars à 17h en présence de l’artiste
Galerie Conil – Volubilis
Place de la Kasbah
Tanger
A propos d’Itaf Benjelloun
Itaf Benjelloun est une artiste marocaine originaire de Ksar el Kébir. Sculpteure, designer et architecte d’intérieur, elle vit à Tanger. C’est là qu’elle a réalisé divers travaux d’aménagement d’intérieurs, de restauration et de décoration , ainsi que dans d’autres villes du Maroc. Elle a réalisé également plusieurs décors de cinéma et de théâtre.
Sa première exposition a eu lieu àTanger en 1997. Les sculptures de Itaf Benjelloun ne peuvent pas laisser indifférents. Elles étonnent d’abord. Elles sont si singulières et si familières à la fois. Singulières car elles sont faites de bric et de broc, de fer, de terre et de bois. Et familières car on reconnaît ce pied…de chaise, cette herse… griffue, cette spirale…. angoissée… Mais de la même façon que, sous sa plume de poète, Francis Ponge transfiguraient des objets quotidiens, Itaf Benjelloun subliment des fragments d’objets qui s’épousent, s’animent, dansent dans un mouvement cosmique. L’objet quotidien renferme en lui un monde que l’artiste perçoit et fait parler. Ainsi elle confiait dans un entretien cette jubilation ressentie très tôt face à l’objet en devenir et encore muet : « Aussi longtemps que je me souvienne, dans mes jeux d’enfant , il y avait toujours des fragments de matériau que je manipulais pour reconstituer un monde à l’échelle de mon imaginaire (…) Une boite cassée ou un objet… ces choses renfermaient des histoires.»
Sculpter, pour Itaf, c’est recréer : c’est faire se rencontrer des morceaux épars et d’autres fragments délaissés et de cette rencontre, faire naître une histoire ! C’est souvent une histoire de soudure, de fusion, de fêlure… Une histoire d’amour, peut être. C’est du moins ce que suggère l’exposition « Danse avec moi » d’octobre 2011 à la villa des Arts à Rabat. Etait mis en scène le ballet insolite de corps métalliques s’enroulant dans un tourbillon d’acier, aux visages ébréchés, aux regards égarés, perdus l’un dans l’autre, … des corps se soudant, fusionnant, s’agrippant l’un à l’autre au point de ne faire qu’un. Des visages morcelés figurant la passion qui embrase et brise. Des danseurs emportés dans un tango langoureux qui colle leurs mains, donne leur envol à leurs corps désarticulés.
Mais c’est une interprétation possible de ce ballet. D’autres lectures sont possibles. Les sculptures de Itaf sont une invitation au rêve, à l’envol, au voyage dans l’imaginaire. Une danse en trois temps : fer, terre, bois.
Samia Barrada
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vendredi 30 mars 2018
La Galerie Delacoix reçoit l’écrivain Pierre Ducrozet pour une rencontre animée par Stéphanie Gaou autour de son dernier livre « L’invention des corps ». Vendredi 6 avril à 19h. Une initiative de l’institut Français de Tanger et de la librairie les insolites.
Le 6 avril prochain, Stéphanie Gaou accueillera l’auteur Pierre Ducrozet, qui a obtenu en 2017 le « Prix Flore » pour son roman « L’invention des Corps » publié chez Actes Sud qui fut un grand coup de cœur de la rentrée 2017.
Dès les premières pages, L’invention des corps s’élance dans le sillage d’Álvaro, jeune prof mexicain, surdoué de l’informatique, en cavale après les tragiques événements d’Iguala, la nuit du 26 septembre 2014 où quarante-trois étudiants disparurent, enlevés et assassinés par la police. Rescapé du massacre, Álvaro file vers la frontière américaine, il n’est plus qu’élan, instinct de survie. Aussi indomptable que blessé, il se jette entre les griffes d’un magnat du Net, apprenti sorcier de la Silicon Valley, mécène et apôtre du transhumanisme, qui vient de recruter une brillante biologiste française. En mettant sa vie en jeu, Álvaro s’approche vertigineusement de l’amour, tout près de trouver la force et le désir d’être lui-même.
Exploration tentaculaire des réseaux qui irriguent et reformulent le contemporain – du corps humain au World Wide Web –, L’invention des corps cristallise les enjeux de la modernité avec un sens crucial du suspense, de la vitesse et de la mise en espace.
Il y a une proportion élevée de réalité dans cette histoire étourdissante, sans doute sa part la plus fantastique, la plus effrayante. Mais c’est dans sa foi butée, parfois espiègle, en l’être humain que ce roman d’alerte déguisé en page-turner puise son irrésistible force motrice.
Autour de ce roman qui brasse transhumanisme, identité, génétique, rébellion, geeks et gestion de la violence, c’est tout un univers ébouriffant et étourdissant qui se dessine sous nos yeux.
Avec un brio sans pareille et une langue qui va à mille à l’heure, Pierre Ducrozet propose une vision sans concession du XXIe siècle.
Une rencontre qui promet haute voltige et célérité !
Vendredi 6 avril 2018 à la Galerie Delacroix à partir de 19h.
Galerie Delacroix
86, rue de La Liberté
Tanger
+212 5399-41054
| Entrée Libre dans la limite des places disponibles |
Partenariat Institut français de Tanger | Librairie les insolites
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lundi 26 mars 2018
vendredi 23 mars 2018
La Galerie Conil organise une exposition du photographe camerounais Youssef Mounchili intitulée « Voie des migrants » à partir du samedi 24 mars.
C’est en photographiant ses périples en Afrique subsaharienne (Burkina-faso, Togo, Algérie…)
qu’est né en Youssef Mounchili le désir de faire de ce passe-temps son métier.
Les portraits exposés sont les visages des personnes avec qui l’artiste, d’origine camerounaise,
a vécu et partagé les moments de voyage et de cheminement vers l’espoir d’un monde meilleur, ailleurs que dans leur pays.
Vernissage le samedi 24 mars à partir de 16h, en présence de l’artiste.
Galerie Conil
7, rue du Palmier
Petit Socco
Tanger
Ouvert tous les jours – 10h30 à 13h30 et 16h à 19h30
+212 6 28 68 49 81/ 5 39 37 20 54
www.facebook.com/galerieconil
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jeudi 22 mars 2018
Le collectif « Zanka bla Violence » (rue sans violence) souhaite contribuer aux efforts de prévention et de lutte contre ce phénomène en utilisant l’art comme vecteur de sensibilisation. Afin d’agir sur le changement d’attitudes et de comportements en faveur de l’égalité entre les sexes, le collectif organise une tournée nationale du 27 mars au 5 avril 2018, dans les villes de Tanger, Fès, Rabat, Casablanca et Marrakech.
Les 27 et 28 mars prochains seront organisés à Tanger 2 événements phares :
Le Zanka Lab ou « comment vivre, revivre ou sentir le harcèlement sexuel dans un espace expérimental » :
Dans un espace expérimental, des hommes et des femmes de tout âge seront invités à vivre une expérience multi-sensorielle, via des sons, des images, des vidéos, des objets interactifs, afin de les amener à se questionner, à travers les sens et l’intellect, sur le harcèlement.
Lieu : Voir informations pratiques sur: www.facebook.com/zankablaviolence
Le Zanka Théâtre ou « comment l’expression artistique peut contribuer à déconstruire les normes sociales nocives qui perpétuent les violences à l’encontre des femmes»:
Le public sera convié à assister à une représentation autour des violences faites aux femmes dans les espaces publics.
Cette création artistique plurielle mêlant projection vidéo, lectures et théâtre forum est conçue, en partie, à partir de l’expérience Zanka Lab, mais également de témoignages réels en lien avec le harcèlement. L’objectif de cette expérience est de favoriser les échanges, le partage et la proposition de solutions en vue de réduire la prévalence de ces violences.
Lieu : Voir informations pratiques sur: www.facebook.com/zankablaviolence
Cette tournée nationale, qui succède à un premier événement dans la ville de Rabat en novembre 2017, a pour objectif de contribuer, à travers la sensibilisation, au renforcement de la mobilisation des citoyens et citoyennes des cinq villes susmentionnées, et ce, en matière de prévention et de réponse au harcèlement sexuel dans la rue.
Notre partenaire Spectacle pour tous, qui mettra son camion théâtre à notre disposition pour cette tournée, nous permet de positionner le Zanka Lab dans des espaces à forte affluence pour toucher le plus grand nombre de personnes.
« Zanka bla violence » est un collectif tout juste créé par trois comédiens: Béatriz Villanueva, Monsef Kabri et Soufiane Guerraoui. Ils s’intéressent depuis longtemps au harcèlement de rue, un phénomène qui prend de plus en plus d’ampleur dans notre société et ponctue le quotidien de nombreuses femmes. En tant qu’artistes, ils espèrent que l’art puisse être un vecteur de changement des mentalités à ce sujet. Trop ambitieux?
« Il faut bien commencer quelque part », déclare Beatriz Villanueva.
Cette initiative sera mise en œuvre avec l’appui d’ONU Femmes dans le cadre du programme « Hommes et femmes pour l’égalité de genre » financé par l’Agence suédoise de coopération internationale au développement (SIDA), en partenariat avec OXFAM, dans le cadre de la campagne Baraka, Spectacle pour tous, l’Institut français de Rabat et l’AMI.
Pour plus d’informations, n’hésitez pas à solliciter les organisateurs.
Contact: zankablaviolence@gmail.com
Tel : +212 6 53 04 40 71
Partenaires : ONU Femmes, Oxfam, Institut Français de Rabat, Spectacle pour Tous, Ami
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vendredi 16 mars 2018
La Comédie de Tanger propose un nouveau spectacle « Gynécée », une pièce de Gérard Levoyer (2008) mise en scène par Aurore Laloux les 12, 13 et 14 avril à 20h à la Fondation Lorin.
« Exister c’est oser se jeter dans le monde »
Avec tendresse, humour, émotion et beaucoup de sincérité aussi, comme dans la vie, comme dans un film ou dans toutes ces choses vues à la fenêtre elles disent elles racontent elles parlent des femmes qu’elles aimeraient être, des garçons aux allures de conquérants, des hommes qui traversent les rêves à l’infini… comme dans un je. Des femmes si différentes et pourtant semblables par bien des points !
Places limitées. Réservations obligatoires à : comediedetanger@gmail.com
Fondation Lorin
44 rue Touahin
Médina de Tanger
EXTRAIT– JUSTINE
A propos de Gérard Levoyer
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La librairie les insolites de Tanger organise une rencontre le vendredi 16 mars 2018 à 19h pour la présentation du livre « La photographie au Maghreb » avec Abdelghani Fennane.
L’ouvrage « La photographie au Maghreb » (éditions Aimance Sud) a nécessité de nombreuses années de recherche.
Il est le premier livre à traiter en profondeur des liens entre les sociétés du Maghreb et leur rapport à l’image.
Faisant intervenir plusieurs professionnels, cet ouvrage s’avère un jalon indispensable pour comprendre la culture contemporaine et l’apport de la photographie dans la société actuelle.
Abdelghani Fennane qui a dirigé la rédaction du livre sera présent le vendredi 16 mars 2018 à 19h pour nous faire découvrir les facettes de cette étonnante pratique artistique dans les pays du Maghreb.
Librairie les insolites
28, rue Khalid Ibn Oualid – Tanger
Tel: 05 39 37 13 67
A propos de Abdelghani Fennane
Abdelghani Fennane est enseignant chercheur à la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines, Université Cadi Ayyad de Marrakech. Poète et essayiste, il est l’auteur de plusieurs articles et d’essais sur la photographie : « Le photographe, son corps, sa société », Penser le corps au Maghreb, De la photographie au cinéma, Préface Mohamed Rachdi ; co-auteur de Première Biennale Des Photographes Du Monde Arabe Contemporain et Une Histoire de la photographie marocaine, avec Marie Moignard et Moulim Elaroussi et directeur de la publication du livre: La photographie au Maghreb.
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mercredi 14 mars 2018
La compagnie aérienne espagnole Hélity compte lancer à partir du 26 juin prochain une liaison par hélicoptère entre les villes de Tanger et Algésiras.
La compagnie espagnole va ainsi proposer ce voyage en hélicoptère dont la capacité sera comprise entre 11 et 15 passagers spécialement dédié à cette nouvelle ligne, précise Hélity Copter Airlines.
L’entreprise avait commencé ses premiers vols l’année dernière entre les villes de Sebta et Algésiras et Malaga et annonce plus de 18.000 passagers transportés. En plus de cette nouvelle ligne, la compagnie aérienne envisage le lancement d’un vol entre les deux enclaves espagnoles au Maroc Sebta et Melilla.
La compagnie n’a pas précisé les prix pour cette liaison, mais ils devraient s’approcher de ceux pratiqués entre Sebta et Algésiras entre 33 et 53 € par passager adulte pour 10 minutes de vol.
Pour en savoir plus: https://helity.es/
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lundi 12 mars 2018
Un départ depuis Tanger et une étape totalement inédite pour le 25eme Rallye Maroc Classic. C’est depuis le très fameux hôtel Mirage de Tanger, situé au pied de la Grotte d’Hercules sur la façade atlantique, qu’était donné le départ du Maroc Classic 2018.
Avec un parcours entièrement repensé pour fêter son quart de siècle d’existence, le Rallye Maroc Classic réinvestira les plus belles routes du Royaume jusqu’au 16 mars. Le départ se fera cette année de Tanger, avec une étape inaugurale qui mènera pour la première fois les Gentlemens Drivers vers la rocade méditerranéenne, à travers une boucle autour de Tétouan.
C’était un spectacle exceptionnel dans les rues de Tanger de voir défiler les 30 équipages engagés au volant de voitures de légende : pas moins de cinq Cobra, une Ferrari 275 GTB, une Lancia Aurelia B24, deux magnifiques Austin Healey, deux DS (une totalement préparée « rallye » et une cabriolet), etc.
Après quelques kilomètres près de l’océan vers le Cap Spartel, les concurrents ont parcouru les hauteurs de TANGER avant de suivre l’intégralité du front de mer tangérois, du Port jusqu’au Cap de MALABATA. La route a pris alors un virage à 180 degrés vers le sud en direction de MELOUSSA et des collines voisines.
Un spectacle que le temps maussade n’aura pas réussi à gâcher: les concurrents ne le savaient pas encore, mais le vent et les fortes pluies les accompagneront toute la journée, ces intempéries rendant certaines routes difficiles (km 122 : la route s’est transformée en piscine, passage délicat bien négocié par la caravane du rallye).
La route a immédiatement changé d’aspect pour devenir plus sinueuse et étroite. Les concurrents ont vu au loin apparaître la zone franche de Tanger, nichée au centre d’une très large vallée, témoignant de l’intense activité logistique et commerciale de la région. Le rallye s’est ensuite dirigé vers le Nord-Est pour rejoindre le Cap non loin de CEUTA, l’enclave espagnole.
Il était alors temps d’affronter la première épreuve de régularité (ERR). Elle s’est déroulée sur une route prenant de la hauteur et dominant la mer Méditerranée. Les éoliennes ont accompagné les moteurs de leur sifflements ! Court et rapide, le tracé chronométré a permis à l’équipage L. DERET / A. DERET de remporter cette première épreuve en Austin Healey 3000 dans la catégorie Classic. Côté Prestige, la Dodge Viper emmenée par l’équipage B. OUVIER / J. OUVIER se place en tête de la catégorie Prestige.
Une fois la spéciale terminée, la route côtière a repris ses droits pour diriger les concurrents, au hasard d’une superbe vue sur Ceuta laissée sur la gauche, vers M’DIQ pour un déjeuner, les pieds dans l’eau et le sable blanc au BANYAN TREE.
Après déjeuner, TETOUAN n’étant situé qu’à quelques kilomètres de M‘DIQ, l’organisation avait concocté un itinéraire en boucle longeant la mer durant de nombreux kilomètres et offrant une vue à couper le souffle sur la Méditerranée qui semble s’étendre à l’infini.
Ce superbe décors, où la route se fond parfaitement dans les hautes falaises, proposait une conduite intéressante jusqu’au lieu de départ choisi pour la deuxième épreuve de régularité. Ce seconde chrono de la journée marquait également la fin de la route côtière et l’entrée du Rallye dans les terres cultivées. L’occasion de découvrir les premiers contreforts montagneux du RIF et, cela va sans dire, une route constituée de virage dans des vallées rocheuses encaissées. C’est dans ce décor que l’épreuve a eu lieu, non loin du village perchée de TALAMBOTE, point le plus au sud de cette boucle « dominicale ».
La seconde ERR du jour est venu confirmer le lancement des sportivités : 7,9km sur route mouillée. Ce tracé a convenu à l’équipage JM. ARLAUD / MF. ARLAUD en Citroën DS 21 dans la catégorie Classic, tandis que B. OUVIER / J. OUVIER ont confirmé leur 1ère place en Dodge Viper.
La caravane du Rallye a ensuite rattrapé la grand-route menant à TETOUAN, surprenante ville comme accrochée à la falaise, surplombant la mer ! Le SOFITEL TAMUDA BAY, encore une nouveauté, accueille les participants ce soir au terme de cette première étape. Les concurrents se retrouveront demain matin pour prendre la route, direction FES. Une étape comptant pas moins de 4 ERR !
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vendredi 9 mars 2018
Le Goethe-Institut Marokko a le plaisir de vous convier à l’édition 2018 des journées du film allemand qui auront lieu du 11 au 14 mars à la Cinémathèque de Tanger. Ces journées consacrées au cinéma allemand visent à offrir aux cinéphiles marocains un aperçu de la production cinématographique allemande actuelle.
À cette occasion, quatre films récents encore jamais diffusés au Maroc sont proposés aux spectateurs. Ces films interrogent tantôt la problématique de la migration (Western), tantôt celle des jeunes en situation de handicap (Rico, Oscar : mystère et Rigatoni), tandis que Quand la lumière décline aborde l’Histoire à travers l’histoire d’une famille.
Le film Western de Valeska Grisebach (2017), nominé au festival de Cannes dans la catégorie un Certain Regard, nous emmène au fin fond de la campagne bulgare où des ouvriers allemands se voient confrontés à la méfiance de la population locale ainsi qu’à leurs propres préjugés.
La réalisatrice turco-allemande Asli Özge tient le spectateur en haleine dans All of a Sudden (2016), thriller psychologique (Special Mention Europa Cinemas lors de la Berlinale 2016) où dominent incertitude et méfiance après le décès soudain d’une jeune inconnue à la fin d’une fête dans une petite ville de province allemande.
L’adaptation au grand écran du bestseller d’Eugen Ruge Quand la lumière décline (2017) présenté dans la catégorie Berlinale Special en 2017 brosse le portrait d’une famille en déclin dans l’Allemagne de l’Est agonisante de 1989, avec le grand Bruno Ganz dans le rôle du patriarche.
Dans le film jeune public Rico, Oscar : mystère et Rigatoni (2014) primé dans la catégorie du meilleur film pour enfants (German Film Award 2015), nous suivons les folles aventures du petit Rico, jeune garçon atypique cherchant à délivrer son ami kidnappé par un certain Mister 2000 à Berlin.
Nous vous souhaitons de belles journées du film allemand riches en émotions et en découvertes et espérons vous retrouver parmi nous lors de nos prochaines manifestations culturelles.
PROGRAMME
WESTERN
Samedi 10 mars 2018 à 19h30 au Cinéma Renaissance de Rabat
Dimanche 11 mars 2018 à 19h00 à la Cinémathèque de Tanger
Rencontre avec la réalisatrice ou Meinhard Neumann (à confirmer)
Réalisation : Valeska Grisebach | 2017 | 121 min. | sous-titré en français | Titre original : Western
avec Meinhard Neumann, Reinhardt Wetrek et Syuleyman Alilov Letifov
Des ouvriers allemands travaillent sur un chantier au fin fond de la Bulgarie. Les relations avec la population du village alentour se révèlent difficiles, voire conflictuelles. Les hommes du chantier se font un plaisir d’accrocher un drapeau allemand sur leur cabane ou harcèlent les filles du coin. Cependant, Meinhard part découvrir la vallée en solitaire et essaie de briser l’obstacle de la langue pour entrer en contact avec les habitants.
Dans Western, Valeska Grisebach orchestre les tensions entre l’homme solitaire et le groupe, étrangers et locaux, reprenant les codes du western américain pour observer la persistance de ses grands motifs dans un tout autre contexte, celui de l’Europe d’aujourd’hui.
LA REALISATRICE Valeska Grisebach est née à Brême en 1968. Après des études d’allemand et de philosophie, elle étudie le cinéma à Vienne. Mon étoile (Mein Stern, 2001), son film de fin d’études, est primé au festival international du film de Toronto. Elle gagne en reconnaissance avec son premier long-métrage Désir(s) (Sehnsucht, 2006) pour lequel elle est sélectionnée en compétition au Festival du film de Berlin 2006. On affilie Valeska Grisebach à l’« Ecole de Berlin », vague apparue dans le courant des années 2000.
RICO ET OSCAR : MYSTERE ET RIGATONI
Mercredi 7 mars 2018 à 14h30 au Cinéma Renaissance de Rabat
Lundi 12 mars 2018 à 19h00 à la Cinémathèque de Tanger
Réalisation : Neele Leana Vollmar | 2014 | 94 min. | sous-titré en français | titre original : Rico, Oskar und die Tieferschatten
avec Anton Petzold, Juri Winkler et Karoline Herfurth
Rico est un enfant « maldoué »: il comprend tout à moitié, mais remarque certains détails que les autres ne voient pas, comme une nouille sur le trottoir ou bien des ombres qui lui fichent drôlement la frousse. Et il a une autre raison de frissonner: depuis trois mois, Mister 2000, un kidnappeur d’enfants, tient Berlin en haleine. Lorsqu’Oscar, son ami surdoué mais très angoissé, ne vient pas à leur rendez-vous, Rico comprend que quelque chose de grave s’est passé. Parviendra-t-il à délivrer son ami des griffes de Mister 2000 ?
Adapté des aventures imaginées par le romancier Andreas Steinhöfel, le film présente la différence, vécue non pas comme un handicap, mais comme un atout qui réunit deux gamins berlinois et leur permet d’affronter le monde semé d’embûches, avec une confiance retrouvée.
LA REALISATRICE Neele Leana Vollmar est née à Brême en 1978. Elle étudie jusqu’en 2005 à l’Académie de Cinéma du Bade-Wurtemberg. Après plusieurs courts métrages, dont Un voyage (Eine Reise, 2000) et Mes Parents (Meine Eltern, 2003), elle réalise son premier long métrage en 2004, En congés de la vie (Urlaub vom Leben), suivi notamment par Les Temps paisibles (Friedliche Zeiten, 2008).
ALL OF A SUDDEN
Jeudi 08 mars 2018 à 19h30 au Cinéma Renaissance de Rabat
Mardi 13 mars 2018 à 19h00 à la Cinémathèque de Tanger
Réalisation : Asli Özge | 2016 | 112 min. | sous-titré en anglais | titre original : Auf einmal avec Sebastian Hülk, Julia Jentsch et Hanns Zischler
À la fin de la soirée chez Karsten, tout le monde est parti, sauf Anna. Soudain, celle-ci s’écroule. Paniqué, Karsten court vers la clinique la plus proche qu’il trouve fermée la nuit. À son retour, Anna est morte. Pourquoi Karsten n’a-t-il pas appelé les secours ? Qui est cette Anna, inconnue de tous dans cette petite ville ? Ces questions reviennent sans cesse et alimentent la méfiance de son entourage. Karsten est-il victime ou coupable ? Lui-même l’ignore. Au moyen d’un coup de théâtre narratif, le film passe du thriller tranquille basé sur un malaise à une fable violente sur la puissance et le mal.
LA REALISATRICE Aslı Özge est née en 1975 à Istanbul. Après son diplôme en Cinéma et Télévision de l’université de Marmara, elle réalise Men on the Bridge, sélectionné au Festival de Locarno 2009 et remporte de nombreux prix dans les festivals internationaux. Son second film Lifelong est présenté dans la section Panorama de la Berlinale 2013. All of a Sudden est son premier long métrage en langue allemande.
QUAND LA LUMIÈRE DÉCLINE
Vendredi 9 mars 2018 à 19h30 au Cinéma Renaissance de Rabat
Mercredi 14 mars 2018 à 19h00 à la Cinémathèque de Tanger
Réalisation : Matti Geschonneck | 2017 | 100 min. | sous-titré en français | titre original : In Zeiten des abnehmenden Lichts
avec Bruno Ganz, Hildegard Schmahl et Sylvester Groth
En 1989, à la veille de la chute du Mur, l’Allemagne est encore divisée en deux Etats. A Berlin-Est, on fête les 90 ans de Wilhelm, communiste stalinien convaincu, désormais sénile. Son fils Kurt, intellectuel passé par les prisons russes, est présent. En revanche le petit-fils Sascha brille par son absence : il a fui en Allemagne de l’Ouest.
Avec un humour désespéré, le film fait le portrait d’une famille qui se désintègre, broyée par l’usure des sentiments et des idéaux, tout comme le pays. Une adaptation réussie du best-seller d’Eugen Ruge, avec le grand Bruno Ganz dans le rôle du patriarche.
LE REALISATEUR Matti Geschonneck est né en 1952 à Potsdam. Après des études en cinéma à Moscou, il tourne son premier long-métrage Moebius (1991) et participe au tournage de plusieurs épisodes de la célèbre série policière allemande Tatort. Après s’être consacré des années aux téléfilms, il tourne son deuxième long-métrage Boxhagener Platz (2010), tiré du roman de Torsten Schulz et diffusé dans la catégorie Special lors de la Berlinale 2010.
Projections
et rencontres
à la Cinémathèque de Tanger
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jeudi 8 mars 2018
A l’occasion de la journée de la femme du 8 mars 2018, voici un message de l’association « 100 % Mamans » créée par Claire Trichot et présidée aujourd’hui par un homme, le docteur Khalid Ghnimi. Cette association réalise depuis 10 ans un travail pérenne et efficace pour assurer un soutien auprès des mères célibataires et de leurs enfants.
L’association 100% Mamans se joint à la société civile nationale et internationale pour célébrer la journée de la femme. Une journée qui nous rappelle la lutte et le combat des femmes depuis des siècles pour l’égalité, la dignité, la justice et le plein exercice des droits politiques, sociaux, économiques et culturels des femmes.
Au Maroc, la situation reste alarmante malgré les réformes législatives adoptées par le royaume, dont la réforme partielle du code pénal en 2003, l’adoption de la Moudawana en 2004, de la nouvelle Constitution de 2011 et l’adoption des lois relatives à la traite des personnes et au travail domestique en 2016. Des discriminations et violations des droits des femmes subsistent encore au niveau législatif mais aussi au niveau social.
Aujourd’hui au Maroc, la femme n’a toujours pas le droit de disposer de son corps. La sexualité hors le cadre du mariage est interdite et pénalisée par l’article 490 du code pénal. S’ajoute à cela l’avortement qui n’est autorisé que dans les cas de viol, inceste et grave malformation fœtale. Hormis ces cas, cette pratique est criminalisée par l’article 454 du code pénal malgré les chiffres scandalisants révélés par AMLAC, l’Association Marocaine de Lutte contre l’Avortement Clandestin ; annonçant qu’entre 600 et 800 interruptions de grossesses sont clandestinement interrompues chaque jour au Maroc.
Aussi, La mère célibataire est toujours un paria de la législation marocaine mais aussi de la société. Ce n’est plus un phénomène mais une réalité car d’après les chiffres révélés par une étude de l’association INSAF, 30 000 naissances hors mariage sont enregistrées chaque année au Maroc. Pourtant, rien ne se fait pour reconnaître le statut de la mère célibataire, responsabiliser le père biologique et donner à l’enfant de la mère célibataire des droits égaux à l’enfant né dans le cadre du mariage, notamment le droit à l’identité.
En plus de ce vide juridique, ces femmes sont souvent exclues de la société et de leurs familles. Elles sont victimes de violence sexuelle, physique et psychologique. Et c’est dans ce sens que l’association 100% Mamans multiplie ses efforts pour défendre et promouvoir la dignité, la citoyenneté et le plein exercice des droits humains des mères célibataires et de leurs enfants à travers l’élaboration de projets de prise en charge répondant aux besoins des mères célibataires et leurs enfants en situation de vulnérabilité .
En parallèle avec ses activités, 100% Mamans plaide de manière participative avec ses bénéficiaires pour la protection et la promotion des droits sociaux et économiques des mères célibataires et de leurs enfants afin d’aboutir à une réforme du code de la famille et de toutes les lois marginalisant les mères célibataires et leurs enfants.
Contact :
Khalid Ghnimi, Président de l’association : 0661818687
Sara Lamjamri, Responsable communication et plaidoyer : 0667759707
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mercredi 7 mars 2018
mardi 6 mars 2018
La Librairie des Colonnes propose une rencontre avec l’écrivain Arno Bertina autour de son livre « Des châteaux qui brûlent », le mercredi 14 mars à la Galerie Delacroix animée par Simon-Pierre Hamelin.
Au sein d’un abattoir de volailles occupé, la puissance du collectif et sa pulsion de vie, face à la violence des inégalités contemporaines.
Filiale d’un géant de l’agroalimentaire, un abattoir de volailles breton, au bord du dépôt de bilan, tente de résister. Quatre-vingts salariés occupent l’usine et séquestrent un ministre venu de sa propre initiative leur proposer une reconversion. De gauche, il rêve de décroissance et de développement durable. Eux sont fixés sur un objectif : sauver les emplois. Et qu’importent les aberrations de l’économie mondialisée, l’épuisement de la planète, le pillage du Sud par le Nord, la malbouffe et les interrogations sur la maltraitance animale… Qu’importe, vraiment ? Arno Bertina met en scène, avec une belle subtilité, l’insurrection d’une poignée de salariés en panique sous le regard hostile des médias, dans le viseur des CRS et sous l’œil en embuscade du préfet et du gouvernement. Il fait entendre les voix des uns et des autres, les isole et les croise, les incarne. Il s’enferme avec eux dans l’usine occupée, colle au plus près des discussions, des engueulades, des interrogations intimes, des contradictions, des peurs et des courages, des hontes et des fiertés, des postures et des mises à nu. C’est passionnant, vibrant, puissant. Le texte se déploie dans de multiples dimensions sans jamais perdre son souffle. Tout au long de ses 400 pages, il donne à voir l’intelligence collective, l’évolution des points de vue, la force nouvelle qui s’empare de chacun.
À l’heure où le gouvernement s’apprête à liquider massivement les droits des salariés, l’auteur pointe la violence d’un monde où 85 % des bénéfices des entreprises sont désormais reversés aux actionnaires, contre 40 % en 1980. Empruntant le titre de son roman à Neil Young (Don’t let it bring you down/It’s only castles burning), Arno Bertina réussit un roman singulièrement contemporain, plein d’étincelles et d’énergie, une sorte de brèche dans la perpétuation résignée d’un système qui ne cesse de dévorer les plus faibles : « Une insurrection c’est une réaction de survie, une métamorphose de la mort en forme de vie ».
Michel Abescat – Télérama
A la Galerie Delacroix – Tanger
Le 14 mars à 19 h
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Du 9 au 17 mars, la 19e édition du Festival national de Tanger célèbre les 60 ans du cinéma marocain. Hommages, rétrospectives et panorama des films marocains font partie d’une programmation riche en moments forts.
Tout le cinéma marocain se donne rendez-vous à Tanger du 9 au 17 mars afin de célébrer les 60 ans du 7e art marocain. Une fête du cinéma qui s’apprête à récompenser les meilleures productions de l’année avec une sélection de longs métrages triés sur le volet, célébrant par la même occasion les talents de demain avec la section court métrage. En parallèle, une rétrospective vise à retracer les différentes étapes qu’a connues le cinéma marocain en présentant des œuvres aujourd’hui considérées comme des classiques, donnant ainsi une vue d’ensemble aux connaisseurs comme aux curieux. Sans oublier la section Panorama, qui verra la projection de cinq longs métrages produits en 2017 et non retenus dans la compétition officielle.
Du côté des hommages, quatre vétérans du cinéma marocain seront célébrés, à savoir Mohamed Oumouloud Abbazi, réalisateur, scénariste et producteur. Tout au long d’une riche carrière de plus de 50 ans, il travaille en Europe et au Maroc, assiste de grands réalisateurs venus tourner au Maroc, parmi eux Mostapha Akkad, Robert Wise, Richard Attenborough, John Huston, Franco Zeffirelli, Giuliano Montaldo… Abbazi a également produit et réalisé trois longs métrages: «De l’autre côté du fleuve» (1982), «Les Trésors de l’Atlas» (1997) et «Itto Titrit» (2007). Le deuxième hommage sera rendu à Fatima Ouechay, comédienne de son état. Depuis 1973 et tout au long de sa riche carrière, Fatima Ouechay a joué avec la plupart des réalisateurs marocains, tant au cinéma qu’à la télévision. Elle a également participé à nombre de productions étrangères tournées au Maroc. Mohamed Sabiri, ingénieur d’État, cadre du Centre cinématographique marocain depuis 1981 et Jawad Bouabdesslam, technicien au sein de la même structure depuis 1977, seront aussi remerciés pour leurs efforts dans le milieu du cinéma marocain.
Un fête du cinéma qui promet de grands moments d’émotion du 9 au 17 mars.
1. «Volubilis» (fiction), de Faouzi Bensaïdi
2. «Razzia» (fiction), de Nabil Ayouch
3. «Burn Out» (fiction), de Nour-Eddine Lakhmari
4. «Apatride» (fiction), de Narjiss Nejjar
5. «Jahilia» (fiction), de Hicham Lasri
6. «Les voix du désert» (fiction), de Daoud Aoulad Syad
7. «Lahnech» (fiction), de Driss Mrini
8. «Le Papillon» (fiction), de Hamid Basket
9. «Kilikis, la cité des hiboux» (fiction), de Az Alarabe Alaoui
10. «Le cri de l’âme» (fiction), de Abdelilah El Jaouhary
11. «Tarantella» (fiction), de Rabii El Jawhari
12. «Larmes de sable» (fiction), de Aziz Salmy
13. «Korssa» (fiction), de Abdellah Toukouna
14. «House in the fields» (documentaire), de Tala Hadid
15. «Silence des cellules» (documentaire), de Mohamed Nabil.
Court métrage
1. «Lettre d’amour» de Soufiane Aït Majdoub
2. «Yto» de Noureddine Ayouch
3. «L’appel» de Maria Kenzi Lahlou
4. «Dernière photo» de Faiçal Hlimi
5. «Le Retour du roi Lear» de Hicham El Ouali
6. «Roujoula» d’Ilias Al Faris
7. «Ales» de Fayçal Ben
8. «Petit clair de lune» de Rachid El Ouali
9. «Yara Zed» de Hamza Atifi
10. «Al Massrahia» de Khalid Douache
11. «Jour d’automne» de Imad Badi
12. «Les Corbeaux» de Madane El Ghazouani
13. «Le Départ» de Hamza Boumalki
14. «Silence du père» de Mounia Agoumi
15. «Scénario» de Rachid Zaki
Jihane BOUGRINE – Les Eco.ma
Le Jury du 19e festival de cinéma de Tanger 2018
Concernant la catégorie long métrage, c’est la libanaise Rasha Salti qui présidera le jury. Elle sera accompagnée de la réalisatrice et scénariste marocaine Laila Marrakchi, la productrice et réalisatrice marocaine Dounia Benjelloun Mezian, de la réalisatrice et professeure de cinéma franco-marocaine Simone Bitton, du journaliste et chroniqueur marocain Abdellah Tourabi, du directeur de la section forum de la berlinale allemand Christoph Terhechte et de Ali Hajji, dirigeant d’un groupe de communication.
Quant à la catégorie court métrage, il sera présidé par le cinéaste marocain Mohamed Mouftakir. Il sera entouré par la productrice française Alice Ormières, la journaliste Jihane Bougrine, le documentariste Raymond Zanchi et le réalisateur Ismail Ferroukhi.
Ainsi les deux jurys décerneront 17 prix.
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