vendredi 6 mars 2020

■ Une solution concrète au problème s’impose«Le gouvernement prend les choses très au sérieux et appelle chacun à coopérer». Il y en a marre d’entendre et de lire ce genre de phrases bateau et inutile. Le travail de l’Etat, c’est de proposer des solutions aux problèmes complexes et qui concernent la nation!Z.L.■ Un virus surestimé dès le départ Espérons vraiment que le protocole d’usage sera appliqué afin de pouvoir retrouver les individus entrés en contact avec ce patient, à qui je souhaite au passage un prompt rétablissement. Néanmoins, pas de panique! Etant donné la nature du virus, sa structure relativement simple n’en fait pas un virus plus dangereux que ceux d’une grippe classique. Ainsi, en suivant les recommandations des professionnels de la santé à la lettre insistant sur l’hygiène, les dégâts seront limités voire inexistants! Quoi qu’il en soit, gardons à l’esprit que les accidents de voiture ou le tabagisme tuent plus que ce genre d’épidémie…I.M.                                                                             Pollution: Des solutions pour immuniser CasaL’Inde demeure toujours en tête de la liste des zones urbaines les plus polluées au monde, incluant pas moins de 14 des 20 premières villes de 10 millions d’habitants citées dans le rapport récemment publié par la branche de recherche de la société suisse IQAir. Bien que Casablanca ne figure pas dans ce classement, la métropole est tout aussi concernée par le problème. Les solutions de nos lecteurs pour tenter de changer la donne à ce niveau. (cf. notre édition du 26/02 /2020) ■ Développer le réseau de tramwayPour immuniser Casablanca autant que possible contre les particules fines, développons le réseau de tramway de la ville pour pouvoir réduire le nombre de voitures régulièrement en circulation. Il faudrait aussi miser sur un parc de bus électriques ou fonctionnant entièrement ou en partie au gaz naturel !C.L.■ Mesurons la pollution atmosphériqueParmi les mégalopoles de près de 5 millions d’habitants, Casablanca demeure l’une des plus contaminées aux particules fines. Ainsi, notre «Casalcuta» n’a donc rien à envier à ce propos aux villes indiennes en matière de pollution ! Je me demande par ailleurs sérieusement si la mairie de la ville blanche est équipée comme il se doit d’un système de mesure de la pollution atmosphérique.C.M.                                                                             Et d’autres réactionsCourrier en réponse à notre éditorial «Sanctuaire» sur le commerce transfrontalier avec l’Espagne, paru le 26 février dernier.■ Un exemple pour la diplomatieBravo pour cette analyse pertinente ! Pourvu que notre diplomatie s’en inspire. En effet, les enjeux sont énormes et méritent l’attention ainsi que la mobilisation de nos responsables sous l’égide de notre souverain.Omar Akouri, président de la Fédération de la pêche maritime et de l’aquaculture                                                                             ■ Améliorons l’état de nos villes!    Au Maroc, si l’on souhaitait vraiment améliorer l’état des villes, on pourrait le faire facilement ! Pour cela, il faudrait d’abord penser à revaloriser le salaire des dirigeants aux commandes des grandes villes de notre royaume telles que Rabat, Tanger ou encore Marrakech. Mal payés, ces derniers  – multipliant les compétences juridiques ou encore financières – sont réellement démotivés par leur salaire, qui ne dépasse que rarement les 15.000 DH. D’autant plus que ce genre de poste est bien souvent temporaire…Autre solution et non des moindres, interdire le cumul de plusieurs postes exécutifs! Etre à la fois ministre et responsable de la ville de Kenitra demeure le meilleur moyen de fournir un rendement faible en qualité!Enfin, il serait judicieux d’imposer aux grandes villes l’obligation de disposer d’un site web, de publier régulièrement un rapport annuel de ses activités ou encore de filmer ses municipaux. En intégrant de tels changements, tout le monde, y compris les touristes et les MRE, serait gagnant!W.J.                                                                             Soft skillsJe me permets de vous écrire après avoir lu avec intérêt votre article publié le 7 février dernier. Cela n’est en effet pas le premier rédigé sur votre support qui emploie le terme anglophone «soft skills». Or, ce mot est inusité en français, et donc incompris par bon nombre de vos lecteurs. Pourquoi ne pas lui préférer l’expression française équivalente et bien plus courante «compétences générales»? Serait-il possible d’employer cette dernière dans vos prochains écrits? Cela améliorerait indéniablement la qualité de la langue utilisée. Ainsi, la phrase en question serait devenue «Les compétences générales ne s’enseignent pas dans des amphithéâtres de 200 à 500 étudiants». Je profite enfin de cette occasion de vous écrire pour vous transmettre le lien du grand dictionnaire terminologique, lequel contient tous les équivalents français des anglicismes: https://ift.tt/2PTkefy De Poli————————————————-Note de la Rédaction:Merci pour votre intérêt à l’égard de notre journal. Notre équipe a en fait longtemps hésité entre ces deux termes. Nous avons finalement opté pour le terme «Soft Skills», une expression plus «générale» qui englobe notamment l’apprentissage des langues.        



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