mercredi 1 juillet 2015

• Aéronautique: 35 millions de DH pour l’extension de l’IMA
Un protocole d’accord relatif au développement des capacités de formation de l’Institut des métiers de l’aéronautique (IMA), qui relève du groupement des Industries marocaines aéronautiques et spatiales (Gimas) a été signé, lundi 29 juin, dans la province de Nouaceur. Cet accord ambitionne d’élargir et de développer les capacités de formation de l’IMA dans l’objectif de répondre, en termes de qualité et de quantité, aux besoins urgents exprimés dans le secteur de l’aéronautique. L’extension de l’Institut, qui commencera dans les 3 prochains mois, a nécessité une enveloppe de 35 millions de DH, sous forme de soutien de l’Etat et de participation de l’AFD. La convention a été signée en marge de la rencontre de haut niveau Maroc-France, qui s’est tenue le 28 mai dernier. L’IMA a formé, depuis sa création en avril 2011, quelque 2.000 bénéficiaires, 1.300 dans la formation professionnelle qualifiée et le reste dans le domaine de la formation continue.• Gala annuel de l’African leadership Academy
L’African leadership Academy (ALA) organise, samedi 4 juillet, à Casablanca, son gala annuel, avec la participation de dirigeants d’organisations et de représentants d’ONG.
 L’ALA ambitionne de devenir un terrain d’entraînement pour les futurs dirigeants et les étudiants des pays africains en les aidant à bâtir un fondement intellectuel puissant et à développer leurs capacités de leadership à travers le programme unique en matière d’entrepreneuriat et de leadership. Tous les mois de juillet et d’août, l’Académie organise des réunions avec les diplômés et initie des événements pour les parties prenantes dans chacun des quartiers principaux au niveau des régions du continent africain. L’année dernière, le networking gala a été organisé à Sousse, en Tunisie.

• Acidité, ce que dit la norme!
Alors que l’huile d’olive marocaine est vantée comme un produit acide au Maroc, elle est rejetée à l’international, pour ce même vrai/faux atout. Majoritairement fabriquée dans les «mâasras», (pressoirs artisanaux), celle-ci connaît souvent une oxydation poussée, qui la mène à l’acidité. Reconnue de qualité lampante, elle est impropre à la consommation. Selon le Dahir n°1-62-056 du 30 juin 1962, la date de récolte est primordiale, ainsi que son degré de maturité. Une telle action permet au produit final de porter l’indication de la date de production, ainsi que la durabilité minimale, conformément au Dahir du 10 septembre 1993, rapporte le professeur Hammadi Chimi dans son étude: «Qualité des huiles d’olive au Maroc: enquête nationale et analyses au laboratoire». L’huile d’olive extra vierge propre à la consommation doit avoir une acidité inférieure à 1%. Pour sa part, l’huile d’olive vierge est inférieure ou égale à 2% et l’huile courante inférieure ou égale à 3,3%.  • La Picholine, loin devant…
Dans le cadre du plan Maroc Vert, qui a pour objectif d’arriver à 1,2 million d’hectares de superficies plantées, la filière a connu une importante expansion. La superficie réservée aux olives est passée de 763.000 hectares en 2007/2008 à 933.475 hectares en 2012/2013. 96% de la récolte concerne la picholine. La part restante est composée de la Picholine Languedoc, de la Dahbia, de la Meslala ainsi que certaines variétés espagnoles et italiennes (Picual, Manzanilla, Gordal Frantoio…). Parallèlement, le ministère de l’Agriculture et de la Pêche maritime compte diversifier le produit national, notamment par la plantation de la Menara et la Haouzia.
 



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