Après des mois de réflexion, le Conseil supérieur de l’éducation,
Un pouvoir moral
Enseignement supérieur, une loi à réécrire
Pour son avis d’avril dernier sur le projet de réforme de la loi 01-00 régissant l’enseignement supérieur, le CSEFRS n’y est pas allé avec le dos de la cuillère. Certains de ses membres estiment même qu’une nouvelle loi devrait être rédigée. Confusion entre missions et objectifs, des textes qui manquent de précision, utilisation de termes «inventés», atteinte à l’autonomie de l’université, traitement inégal à l’encontre du privé, des procédures de nomination des présidents d’université et doyens à revoir, de même que la composition des membres des conseils d’université… Lahcen Daoudi réfute plusieurs des critiques formulées, mais préfère attendre la journée d’étude à l’université de Rabat pour une position plus globale. Sur la nomination des présidents d’université par exemple, qu’il considère comme étant «bonne», pas question d’y toucher, si ce n’est pour introduire une présélection sur dossier des candidats. Mais tout le monde n’est pas du même avis (voir interview ci-contre).
Ahlam NAZIH
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